Une nouvelle révolution dans la technologie ! Votre téléphone a une batterie à plat ? Désormais, grâce à cette nouvelle découverte, il est possible de le charger sur un vélo. Une innovation qui a été découverte par des lycéens de Lilles. Les petits génies ont eu la brillante idée de charger les smartphones avec une bicyclette à l’aide d’un fameux boitier. L’idée ne resta pas là, ils ont mis le projet sur pied pour pouvoir commercialiser ce produit qu’ils ont créé. Pour ces lycéens, le but est de se faire connaitre grâce à cette petite merveille.
Le début de la découverte innovante : la source du projet
Toute cette histoire prend racine dans le l’Ecole professionnelle des industries lilloises. C’est en septembre dernier que les élèves de la seconde de ce lycée se sont rassemblés en mini-entreprises dans l’élaboration d’un projet. Une petite industrie qui a eu l’idée de créer un moyen permettant aux bicyclettes de charger les téléphones portables.
L’idée de ce projet est de permettre aux gens de recharger leurs téléphones en pédalant. Une manière écologique qui préserve la nature. Certes, un peu fatigante, mais très intéressante pour l’environnement. Le système concerne les dynamos, c’est à partir de cela que l’on arrive à trouver assez d’énergie pour donner des charges aux téléphones.
Une petite entreprise sérieuse en route
Le projet né, les élèves n’en restaient pas là. Ils décidèrent de commercialiser leurs idées et de chercher divers partenaires pour les soutenir. Une entreprise se mit alors en route encadrée par Olivier Delsalle et Florence Haguet. Pour ce faire, divers services ont été mis en place pour la bonne marche de la mini-entreprise. Aussi, ils ont divisé la société en divers départements dont le service commercial, technique, marketing et communication. Ils sont actuellement à la recherche de partenaires pour appuyer de près ce projet.
Des projets d’avenir pour la mini-entreprise d’EPIL
La mini-entreprise ne compte pas en rester à ce stade. Elle a une perspective d’évolution et compte s’agrandir peu à peu. La commercialisation du produit est une chose accomplie mais son amélioration, une autre. Les élèves comptent apporter d’autres touches pour améliorer ce fameux boitier. Il s’agit de pouvoir donner de meilleures conditions d’utilisation. Et pour ce qui est du partenariat, ils souhaitent vendre leur « Eco bike » et se sont même adressés à l’ADAV pour qu’il rachète les dynamos vintages. Les élèves veulent élargir leur entreprise pour arriver à un stade de haut niveau voire même international si possible.